Perspectives d’emploi Chef de cuisine en Nouvelle-Écosse

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme de chef de cuisine en Nouvelle-Écosse ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés en Nouvelle-Écosse

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 29 novembre 2023.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront bonnes pour les chefs (CNP 62200) en Nouvelle-Écosse pour la période 2023 à 2025.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création d'un certain nombre de postes
• un certain nombre de postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• un certain nombre de travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

Des postes vacants de longue date dans certaines régions ont incité certains employeurs à tenter de recruter des candidats de l’extérieur de la province. Bien que la certification Sceau rouge constitue un atout, bon nombre d’employeurs sont prêts à embaucher des demandeurs qualifiés ou expérimentés qui ne la possèdent pas ou qui suivent actuellement un apprentissage. Dans le marché du travail actuel, les demandeurs qualifiés ne devraient pas éprouver trop de difficulté à trouver un emploi, même si cela variera en fonction de la région de la province dans laquelle ils sont situés. De plus, une partie du recrutement dans cette profession a lieu au moyen de réseaux personnels. Il pourrait donc, dans certains cas, être avantageux pour les chercheurs d’emplois de s’enquérir directement auprès des employeurs.

Voici quelques faits saillants au sujet des chefs en Nouvelle-Écosse :

• environ 1 300 personnes occupent un poste dans cette profession
• les chefs travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • services de restauration et débits de boissons (SCIAN 722) : 75 %
  • établissements de soins infirmiers et de soins pour bénéficiaires internes (SCIAN 623) : 6 %
  • services d'hébergement (SCIAN 721) : 5 %
• leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
  • travail à temps plein : 85 % par rapport à 82 % dans toutes les professions
  • travail à temps partiel : 15 % par rapport à 18 % dans toutes les professions
• 36 % des chefs travaillent toute l'année tandis que 64 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 62 % et 38 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 38 semaines par rapport à 42 semaines dans toutes les professions
• 13 % des chefs sont des travailleurs autonomes, par rapport à 11 % dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : 74 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
  • femmes : 26 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : 8 % par rapport à 10 % dans toutes les professions
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : 26 % par rapport à 27 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : 20 % par rapport à 12 % dans toutes les professions
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 32 % par rapport à 22 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : 10 % par rapport à 20 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : moins de 5 % par rapport à 10 % dans toutes les professions

Ventilation par région

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Source Information sur le marché du travail | Méthodologie des perspectives d’emploi

Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années

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